Actualité Historique Marine - Mines - laigle
Chasseur de Mines L'Aigle
Déplacement : 540t
Longueur : 51,5m
Largeur : 8,9m
Tirant d'eau : 3,8m
Numéro de coque : M647
Date admission au service actif : 01/07/1987
Longueur : 51,5m
Largeur : 8,9m
Tirant d'eau : 3,8m
Numéro de coque : M647
Date admission au service actif : 01/07/1987
L'actualité
/ Historique est une page destinée à présenter
l'actualité d'une unité. Elle est également destinée
à présenter l'histoire d'une unité : son activité
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Actualité Chasseur de Mines L'Aigle
Alabordache
06 / 03 / 2005
Sujet : L’inde et la France en exercice anti-minesL’inde et la France en exercice anti-mines
L'Inde et la France ont commencé leurs premières opérations anti-mines en commun dans le cadre d’exercices navals en mer Arabe près de la côte de l'Inde méridionale. L'exercice de neuf jours, appelé 'Varuna 2005 'a commencé le dimanche 27 février 2005. Le chef de la force navale française, le capitaine de vaisseau Maréchal, a expliqué aux journalistes qu c’est la première fois que les deux Marines participent ensembles « à des exercices de guerre de mine. » Maréchal a précisé que les exercices Varuna ont commencé en 1998, dans le cadre de la coopération navale bilatérale entre l'Inde et la France. L'année dernière, les exercices près de la côte de l'état de Goa se sont concentrés sur la guerre anti-surface et anti-sous-marine. La flottille française est composée de deux chasseurs de mines « Orion » et « Aigle », auxquels il faut ajouter les bâtiments de commandement et de soutien de la Force de guerre des mines, la « Loire ». Trois chasseurs de mines, le « Kozhikode », le « Cannanore » et le « Cuddalore », représentent la marine indienne. Environ 250 marins indiens et plus de 300 marins français, y compris quatre femmes, participent à l'exercice. La marine française est venue ici avec le dernier équipement de guerre des mines. « Nous devons voir les progrès que cela occasionne au cours de l'exercice bilatéral » a dit le capitaine de vaisseau Jaiswal, responsable de l'école de guerre anti-sous-marine d'Inde. « Ils vont nous montrer l'équipement que nous n'avons pas, comme le PAP (poisson autopropulsé), les lasers et le dernier sonar » ont-ils ajoutés.
06 / 03 / 2005
Sujet : L’inde et la France en exercice anti-minesL’inde et la France en exercice anti-mines
L'Inde et la France ont commencé leurs premières opérations anti-mines en commun dans le cadre d’exercices navals en mer Arabe près de la côte de l'Inde méridionale. L'exercice de neuf jours, appelé 'Varuna 2005 'a commencé le dimanche 27 février 2005. Le chef de la force navale française, le capitaine de vaisseau Maréchal, a expliqué aux journalistes qu c’est la première fois que les deux Marines participent ensembles « à des exercices de guerre de mine. » Maréchal a précisé que les exercices Varuna ont commencé en 1998, dans le cadre de la coopération navale bilatérale entre l'Inde et la France. L'année dernière, les exercices près de la côte de l'état de Goa se sont concentrés sur la guerre anti-surface et anti-sous-marine. La flottille française est composée de deux chasseurs de mines « Orion » et « Aigle », auxquels il faut ajouter les bâtiments de commandement et de soutien de la Force de guerre des mines, la « Loire ». Trois chasseurs de mines, le « Kozhikode », le « Cannanore » et le « Cuddalore », représentent la marine indienne. Environ 250 marins indiens et plus de 300 marins français, y compris quatre femmes, participent à l'exercice. La marine française est venue ici avec le dernier équipement de guerre des mines. « Nous devons voir les progrès que cela occasionne au cours de l'exercice bilatéral » a dit le capitaine de vaisseau Jaiswal, responsable de l'école de guerre anti-sous-marine d'Inde. « Ils vont nous montrer l'équipement que nous n'avons pas, comme le PAP (poisson autopropulsé), les lasers et le dernier sonar » ont-ils ajoutés.
Alabordache
26 / 02 / 2005
Sujet : Exercice Bilatéral entre la France et l'IndeLa Loire, bâtiment de commandement et de soutien de la Force de guerre des mines, accompagné des chasseurs de mines Orion et Aigle sont en mission de longue durée en Océan Indien. Après une escale à Salalah au Sultanat d’Oman et une courte escale à Goa (Indes), le groupe rejoindra Cochin en Indes le 28 février 2005.
Avant cette escale, l'Inde et la France conduiront un exercice naval commun sur la côte de Cochin à partir 27 février dans le cadre des relations bilatérales entre les deux pays. L'exercice, appelé ''Varuna 2005/1'', se poursuivra jusqu’au 7 mars 2005 selon la Marine indienne. En plus des trois bâtiments de la marine français, deux bâtiments de la marine indienne participeront. Le principe de ces exercices de guerre des mines est le suivant : le bâtiment de soutien mobile (BSM) Loire mouille une ou plusieurs mines fictives à une position inconnue des différents acteurs et coordonne la recherche des chasseurs de mines français et indiens. Ces derniers essayent de détecter la mine grâce à leur sonar. Lorsqu’une cible potentielle est détectée, ils immergent un « mini sous-marin » (appelé PAP, poisson autopropulsé) qui confirme ou infirme l’objectif. Enfin en cas de succès, les plongeurs démineurs sont envoyés pour placer une charge explosive sur la mine à détruire.
Les deux chasseurs de mines Orion et Aigle sont munit des nouveaux systèmes d’armes prévus par le programme de modernisation. Ce programme a été mis en place pour répondre au besoin de modernisation des treize chasseurs de mines CMT de type Eridan. Cette modernisation porte principalement sur le système d’armes des treize CMT de façon à retrouver les mêmes performances, face aux mines furtives modernes, que celles du système d’armes face aux mines du début des années 1980. La solution technique retenue est fondée principalement sur l’acquisition de dix sonars propulsés à immersion variable (SPIV), le remplacement du sonar de coque détecteur, le remplacement du système tactique, la numérisation de la capacité « classificateur » du sonar de coque, le remplacement d’une partie du pilote automatique, l’amélioration de la chaîne de visualisation du véhicule d’intervention PAP (poisson autopropulsé) et la mise en place d’une capacité d’entraînement (pilotage et exploitation SPIV) à bord des bâtiments.
26 / 02 / 2005
Sujet : Exercice Bilatéral entre la France et l'IndeLa Loire, bâtiment de commandement et de soutien de la Force de guerre des mines, accompagné des chasseurs de mines Orion et Aigle sont en mission de longue durée en Océan Indien. Après une escale à Salalah au Sultanat d’Oman et une courte escale à Goa (Indes), le groupe rejoindra Cochin en Indes le 28 février 2005.
Avant cette escale, l'Inde et la France conduiront un exercice naval commun sur la côte de Cochin à partir 27 février dans le cadre des relations bilatérales entre les deux pays. L'exercice, appelé ''Varuna 2005/1'', se poursuivra jusqu’au 7 mars 2005 selon la Marine indienne. En plus des trois bâtiments de la marine français, deux bâtiments de la marine indienne participeront. Le principe de ces exercices de guerre des mines est le suivant : le bâtiment de soutien mobile (BSM) Loire mouille une ou plusieurs mines fictives à une position inconnue des différents acteurs et coordonne la recherche des chasseurs de mines français et indiens. Ces derniers essayent de détecter la mine grâce à leur sonar. Lorsqu’une cible potentielle est détectée, ils immergent un « mini sous-marin » (appelé PAP, poisson autopropulsé) qui confirme ou infirme l’objectif. Enfin en cas de succès, les plongeurs démineurs sont envoyés pour placer une charge explosive sur la mine à détruire.
Les deux chasseurs de mines Orion et Aigle sont munit des nouveaux systèmes d’armes prévus par le programme de modernisation. Ce programme a été mis en place pour répondre au besoin de modernisation des treize chasseurs de mines CMT de type Eridan. Cette modernisation porte principalement sur le système d’armes des treize CMT de façon à retrouver les mêmes performances, face aux mines furtives modernes, que celles du système d’armes face aux mines du début des années 1980. La solution technique retenue est fondée principalement sur l’acquisition de dix sonars propulsés à immersion variable (SPIV), le remplacement du sonar de coque détecteur, le remplacement du système tactique, la numérisation de la capacité « classificateur » du sonar de coque, le remplacement d’une partie du pilote automatique, l’amélioration de la chaîne de visualisation du véhicule d’intervention PAP (poisson autopropulsé) et la mise en place d’une capacité d’entraînement (pilotage et exploitation SPIV) à bord des bâtiments.