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Une découverte qui tendrait à montrer que le Stiff était bien en action de pêche au moment de l'accident. « Il y a une probabilité pour que l'épave soit située à proximité de la zone où à été remonté ce chalut », indiquait-on hier à la préfecture maritime de Brest. Une zone qui avait déjà fait l'objet de recherches de la part des bâtiments de la Marine nationale.
« Nos systèmes ne sont pas infaillibles », souligne le capitaine de frégate Erulin, porte-parole de la Préfecture maritime. « Il est possible qu'un obstacle ait pu gêner les recherches dans ce secteur ».
Le Pégase dispose de deux moyens techniques pour tenter de retrouver l'épave : des sonars embarqués, et un robot sous-marin. Hier soir, ces nouvelles recherches n'avaient toujours rien donné.
Source : var matin 17 / 01 / 2002 Sujet : Soutien logistique à DubaiLe sous-marin nucléaire d'attaque « Rubis », la frégate anti-sous-marine « La Motte-Picquet », le pétrolier ravitailleur « Meuse », les chasseurs de mines « Persée » et « Pégase », accompagnés de leur bâtiment de soutien « Loire », étaient à quai à Dubai les uns derrière les autres. Quant au bâtiment de commandement ravitailleur Var et au bâtiment de renseignements « Bougainville », tous deux sont actuellement en cale sèche pour une période d'entretien prévue de longue date.
Source : reuters 07 / 11 / 2001 Sujet : La France envoie des chasseurs de mines dans le GolfeLa France déploie actuellement des bâtiments de lutte contre les mines dans le Golfe, dans le cadre de la contribution française aux opérations américaines en Afghanistan, a déclaré le Premier ministre Lionel Jospin.
"Sont aujourd'hui déployés des moyens de renseignement aérien et de reconnaissance tels que les Mirage IV, des moyens navals d'escorte et de ravitaillement et, très récemment, un groupe de guerre des mines", a précisé le Premier ministre lors de la séance de question d'actualité à l'Assemblée nationale.
Ce groupe de "guerre des mines" est composé de trois bâtiments: ;la Loire, qui est le navire de commandement et de soutien français de la "Force de guerre des mines", ainsi que les chasseurs de mines ;Pégase et ;Persée, a indiqué un porte-parole du service de presse de la marine nationale.
Ces deux chasseurs de mines, dont les coques sont en matériaux composites, sont spécialisés dans la détection et la destruction de mines par des fonds de 10 à 80 mètres. Ils peuvent également assurer le guidage de convois dans des zones de navigation susceptibles d'êtres minées.
"Les bâtiments ont appareillé de Djibouti et sont actuellement en route vers le golfe arabo-persique", précise-t-on au Sirpa Marine. "Ils assurent la sûreté des approches maritimes dans la zone", a ajouté le porte-parole, soulignant que la France avait des compétences particulières dans le domaine de la lutte anti-mines.
La France a également déployé dans l'océan Indien des moyens de renseignement, en particulier un avion de type C-160 Gabriel, appareil spécialisé dans le recueil de renseignement électromagnétique et photographique, capable de voler à une altitude de 8.000 mètres, ainsi que des Mirage IV spécialisés dans les missions de reconnaissance.
En matière maritime, la marine a ajouté récemment à son dispositif ;le Bougainville, bâtiment d'écoutes effectuant du renseignement électromagnétique, le seul de sa catégorie, qui relève de la Direction des renseignements militaires (DRM).
La France avait déjà mis deux bâtiments, la ;frégate Courbet et le ;pétrolier-ravitailleur Var, à la disposition de la coalition formée par les Etats-Unis pour lutter contre les réseaux d'Oussama ben Laden et le régime des taliban au pouvoir à Kaboul.
Peu après le déclenchement de la riposte, le 7 octobre, le ministre de la Défense, Alain Richard, avait indiqué par ailleurs que des officiers de renseignement français se trouvaient également "au contact" des forces d'opposition afghane de l'Alliance du Nord.