Actualité Historique Marine - Autresbatiments - dupuydelome
Dupuy de LĂ´me
Déplacement : 3600t
Longueur : 101.8m
Largeur : 15.6m
Tirant d'eau : 4.9m
Numéro de coque : A759
Date admission au service actif : 30/10/2005
Longueur : 101.8m
Largeur : 15.6m
Tirant d'eau : 4.9m
Numéro de coque : A759
Date admission au service actif : 30/10/2005
L'actualité
/ Historique est une page destinée à présenter
l'actualité d'une unité. Elle est également destinée
à présenter l'histoire d'une unité : son activité
passée et future, ses anecdotes, des faits marquants.
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Actualité Dupuy de LĂ´me
Alabordache
03 / 09 / 2006
Sujet : La France espionne le conflit du Liban : Le Dupuy-de-Lôme patrouilleLe navire de la Marine nationale française « Dupuy-de-Lôme » patrouille au Liban. Ceci agace les israéliens. La raison est simple, ce navire est tout simplement truffé de matériel d’espionnage.
Equipé par du matériel de la société Thales, ce navire travaille pour la DGSE et la Direction du renseignement militaire français.
On comprend d’autant plus l’agacement des Israéliens lorsqu’on sait que l’équipage de ce bateau est composé de spécialistes de l’espionnage des communications militaires et politiques.
03 / 09 / 2006
Sujet : La France espionne le conflit du Liban : Le Dupuy-de-Lôme patrouilleLe navire de la Marine nationale française « Dupuy-de-Lôme » patrouille au Liban. Ceci agace les israéliens. La raison est simple, ce navire est tout simplement truffé de matériel d’espionnage.
Equipé par du matériel de la société Thales, ce navire travaille pour la DGSE et la Direction du renseignement militaire français.
On comprend d’autant plus l’agacement des Israéliens lorsqu’on sait que l’équipage de ce bateau est composé de spécialistes de l’espionnage des communications militaires et politiques.
Alabordache
30 / 10 / 2005
Sujet : Le "Dupuy-de-LĂ´me", grande oreille de la Royale
Le navire-espion de la Direction du renseignement militaire (DRM) a ouvert, et vite refermé, ses coursives. Le "navire scientifique", que la Compagnie nationale de navigation s'apprête à remettre au ministère de la défense, est à quai dans une zone sous haute surveillance du port de Toulon. C'est un bâtiment tout blanc de 101 mètres de long dont le pont est surmonté de deux gros radômes et d'un large mât dissimulant des antennes. Suivie d'une flopée d'amiraux et de civils peu loquaces, Michèle Alliot-Marie, ministre de la défense, en a admiré la dunette et une salle ou deux, vendredi 28 octobre.
Le Dupuy-de-Lôme, qui sera pleinement opérationnel en juillet, est le navire "collecteur de renseignements" que la marine nationale attendait "avec impatience", a dit son chef d'état-major, l'amiral Alain Oudot de Dainville. Ce navire-espion donnera en effet à la DRM et à la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) un moyen d'écoute ultramoderne dédié au renseignement stratégique et à la lutte antiterroriste, en remplacement du Bougainville.
Il va permettre l'interception, la goniométrie et l'analyse des signaux électromagnétiques relatifs aux communications modernes dans toutes les gammes de fréquence ainsi que des communications relayées par satellite. Avec un équipage limité à 30 personnes, il pourra accueillir 80 spécialistes du renseignement et sera capable d'une autonomie de 70 jours à la mer. A cette merveille de technologie qui a coûté quelque 120 millions d'euros, il sera demandé d'être opérationnelle au moins 350 jours par an.
Mme Alliot-Marie et ses amiraux ont profité de l'occasion pour rendre visite, sur la presqu'île de Saint-Mandrier, au commando Hubert et à ses 110 nageurs de combat, spécialistes de l'action sous-marine et, parfois, de l'arraisonnement de navires, comme ce fut le cas, fin septembre, pour le Pascal-Paoli de la SNCM. Avec les quelque 350 hommes des commandos de Penfentenyo, de Montfort et des commandos Jaubert et Trepel, le commando Hubert constitue l'essentiel de ces "Forces spéciales" que l'armée française déploie avec discrétion, de l'Afghanistan à la Côte d'Ivoire en passant par les Balkans. A tous ces hommes de l'ombre et du renseignement, la ministre de la défense était venue dire que le pays compte sur eux : "Les Français ont besoin d'être rassurés", a-t-elle expliqué.
30 / 10 / 2005
Sujet : Le "Dupuy-de-LĂ´me", grande oreille de la Royale
Le navire-espion de la Direction du renseignement militaire (DRM) a ouvert, et vite refermé, ses coursives. Le "navire scientifique", que la Compagnie nationale de navigation s'apprête à remettre au ministère de la défense, est à quai dans une zone sous haute surveillance du port de Toulon. C'est un bâtiment tout blanc de 101 mètres de long dont le pont est surmonté de deux gros radômes et d'un large mât dissimulant des antennes. Suivie d'une flopée d'amiraux et de civils peu loquaces, Michèle Alliot-Marie, ministre de la défense, en a admiré la dunette et une salle ou deux, vendredi 28 octobre.
Le Dupuy-de-Lôme, qui sera pleinement opérationnel en juillet, est le navire "collecteur de renseignements" que la marine nationale attendait "avec impatience", a dit son chef d'état-major, l'amiral Alain Oudot de Dainville. Ce navire-espion donnera en effet à la DRM et à la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) un moyen d'écoute ultramoderne dédié au renseignement stratégique et à la lutte antiterroriste, en remplacement du Bougainville.
Il va permettre l'interception, la goniométrie et l'analyse des signaux électromagnétiques relatifs aux communications modernes dans toutes les gammes de fréquence ainsi que des communications relayées par satellite. Avec un équipage limité à 30 personnes, il pourra accueillir 80 spécialistes du renseignement et sera capable d'une autonomie de 70 jours à la mer. A cette merveille de technologie qui a coûté quelque 120 millions d'euros, il sera demandé d'être opérationnelle au moins 350 jours par an.
Mme Alliot-Marie et ses amiraux ont profité de l'occasion pour rendre visite, sur la presqu'île de Saint-Mandrier, au commando Hubert et à ses 110 nageurs de combat, spécialistes de l'action sous-marine et, parfois, de l'arraisonnement de navires, comme ce fut le cas, fin septembre, pour le Pascal-Paoli de la SNCM. Avec les quelque 350 hommes des commandos de Penfentenyo, de Montfort et des commandos Jaubert et Trepel, le commando Hubert constitue l'essentiel de ces "Forces spéciales" que l'armée française déploie avec discrétion, de l'Afghanistan à la Côte d'Ivoire en passant par les Balkans. A tous ces hommes de l'ombre et du renseignement, la ministre de la défense était venue dire que le pays compte sur eux : "Les Français ont besoin d'être rassurés", a-t-elle expliqué.
Alabodache
02 / 08 / 2005
Sujet : Le Dupuy de LĂ´me en essai Ă la mer
Le nouveau bâtiment de la Marine nationale Dupuy de Lôme continue ses essais à la mer à Toulon.
Le Dupuy de LĂ´me est un navire collecteur de renseignements qui remplacera le Bougainville Ă partir d'avril 2006.
Contrairement au Bougainville, dont ce n'était pas la mission originelle, le Dupuy de Lôme a été spécifiquement étudié et optimisé dans le but de répondre aux besoins du renseignement à partir de la mer dans le cadre du projet MINREM (Moyen Interarmées Naval de recherche ElectroMagnétique)
Commandé, pour un montant global de 122 millions d'euros, aux sociétés Thales (pour la partie équipements électroniques) et Compagnie Maritime Nantaise, filiale de la Compagnie Nationale de Navigation (pour la partie coque-machines), il a été mis sur cale au chantier néerlandais Royal Niestern Sander le 1er décembre 2002, et lancé le 27 mars 2004 à Delfzijl (Gröningen, Pays-Bas). Le Dupuy de Lôme a rejoint le 3 janvier 2005 le port de la Seyne-sur-Mer (Var) après avoir effectué ses essais à la mer. Cette arrivée marque le début de l'installation à bord des équipements électroniques nécessaires à l'exécution de ses futures missions.
Thales et la Compagnie Nationale de Navigation (CNN) viennent de signer avec la DGA un contrat pour l'entretien du Dupuy de Lôme. Ce contrat de soutien au profit de la Marine nationale, s'étend sur une durée de 5 ans et vise à assurer la disponibilité du bâtiment et de ses systèmes 350 jours par an, en garantissant le fonctionnement des fonctions clés du navire. Elles incluent notamment la propulsion, la manœuvre, l'écoute et la recherche électromagnétique.
02 / 08 / 2005
Sujet : Le Dupuy de LĂ´me en essai Ă la mer
Le nouveau bâtiment de la Marine nationale Dupuy de Lôme continue ses essais à la mer à Toulon.
Le Dupuy de LĂ´me est un navire collecteur de renseignements qui remplacera le Bougainville Ă partir d'avril 2006.
Contrairement au Bougainville, dont ce n'était pas la mission originelle, le Dupuy de Lôme a été spécifiquement étudié et optimisé dans le but de répondre aux besoins du renseignement à partir de la mer dans le cadre du projet MINREM (Moyen Interarmées Naval de recherche ElectroMagnétique)
Commandé, pour un montant global de 122 millions d'euros, aux sociétés Thales (pour la partie équipements électroniques) et Compagnie Maritime Nantaise, filiale de la Compagnie Nationale de Navigation (pour la partie coque-machines), il a été mis sur cale au chantier néerlandais Royal Niestern Sander le 1er décembre 2002, et lancé le 27 mars 2004 à Delfzijl (Gröningen, Pays-Bas). Le Dupuy de Lôme a rejoint le 3 janvier 2005 le port de la Seyne-sur-Mer (Var) après avoir effectué ses essais à la mer. Cette arrivée marque le début de l'installation à bord des équipements électroniques nécessaires à l'exécution de ses futures missions.
Thales et la Compagnie Nationale de Navigation (CNN) viennent de signer avec la DGA un contrat pour l'entretien du Dupuy de Lôme. Ce contrat de soutien au profit de la Marine nationale, s'étend sur une durée de 5 ans et vise à assurer la disponibilité du bâtiment et de ses systèmes 350 jours par an, en garantissant le fonctionnement des fonctions clés du navire. Elles incluent notamment la propulsion, la manœuvre, l'écoute et la recherche électromagnétique.
Source : cols bleus
15 / 03 / 2002
Sujet : Le Dupuy de LĂ´me succĂ©dera au BougainvilleLe nom de Dupuy de Lôme est attribué au moyen interarmées naval de recherche électromagnétique (Minrem) qui prendra la relève du Bougainville dans sa mission actuelle.
La France doit de nombreuses inventions à l'ingénieur du génie maritime Henri Dupuy de Lôme (1816-1885) dont le Napoléon, premier grand navire à vapeur lancé en 1850. Il imagina, entre autres, la protection des coques des navires par une cuirasse métallique et réalisa La Gloire qui allait donner à la flotte française une avance technique remarquable. Il collabora aussi aux travaux de Gustave Zédé sur la navigation sous-marine qui menèrent à la construction du Gymnote.
15 / 03 / 2002
Sujet : Le Dupuy de LĂ´me succĂ©dera au BougainvilleLe nom de Dupuy de Lôme est attribué au moyen interarmées naval de recherche électromagnétique (Minrem) qui prendra la relève du Bougainville dans sa mission actuelle.
La France doit de nombreuses inventions à l'ingénieur du génie maritime Henri Dupuy de Lôme (1816-1885) dont le Napoléon, premier grand navire à vapeur lancé en 1850. Il imagina, entre autres, la protection des coques des navires par une cuirasse métallique et réalisa La Gloire qui allait donner à la flotte française une avance technique remarquable. Il collabora aussi aux travaux de Gustave Zédé sur la navigation sous-marine qui menèrent à la construction du Gymnote.