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Actualit Historique Marine - Fregate_rang_2 - nivose
Frégate de Surveillance Nivôse
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Actualit Frégate de Surveillance Nivôse

04 / 05 / 2009
Sujet : Une erreur fatale de onze pirates somaliens
La marine française vient de déclarer le 3 courant qu'elle a capturé onze pirates somaliens présumés au large de la Somalie, plus précisément à plus de 500 milles nautiques du port kényan de Mombasa. Auparavant, les suspects qui naviguaient sur deux embarcations rapides, ont eu la fatale erreur de confondre une frégate française de surveillance avec un navire marchand, et l'ont pris en chasse.

Selon British Broadcasting Corporation (BBC), le 'bateau marchand' que les pirates poursuivaient était en réalité la frégate lance-missiles française 'Le Nivôse' qui a relevé le 12 avril le Floréal dans la force européenne anti-piraterie Atalante et qui patrouillait justement sur le lieu.

Le Nivôse est fortement armé et est pourvu d'un radar de haut degré de précision. Lorsque l'équipage de la frégate française s'est aperçu que celle-ci est prise en chasse par deux skiffs montés par des pirates, il l'a fait tourner vers le soleil pour ne pas être identifiée et a laissé les deux skiffs s'approcher, puis il l'a fait retournée en engageant ses embarcations légères et son hélicoptère dans un assaut rapide.

Quand les pirates se sont aperçus de leur erreur il était déjà trop tard pour eux, car leurs embarcations furent interceptées à la rapidité de l'éclair et l'assaut des marins français a abouti à la capture des onze suspects.

En dehors des onze pirates somaliens présumés, les marins français ont saisi deux fusils d'assaut et un lance-roquettes.

02 / 05 / 2009
Sujet : La Marine française relâche trois pirates présumés au large de la Somalie
La marine française a relâché ce vendredi 1er mai, faute de preuves suffisantes, trois pirates présumés capturés la veille au large de la Somalie à bord d'une embarcation soupçonnée d'être un « bateau-mère ». Les « bateaux-mère » servent traditionnellement aux pirates de base-arrière pour le ravitaillement en vivres et en essence. Selon le Bureau maritime international (BMI), les attaques ont décuplé au cours du premier trimestre 2009, par rapport à 2008 et parmi les 101 pirates présumés capturés jusqu'alors par la marine française, 27 ont dû être relâchés faute de preuves suffisantes. Les autres ont été remis à la justice des Etats avec lesquels des accords ont été conclus, notamment le Kenya.

Même si tout porte à croire que l'embarcation interceptée ce jeudi 30 avril au matin était bien l'un de ces « bateaux-mère » qui permettent aux pirates d’opérer très loin des côtes somaliennes, les preuves rassemblées par l'équipage de la frégate se sont révélées insuffisantes pour envisager une action en justice contre les trois hommes. Certes des fûts de carburants et plusieurs brassières de sauvetage provenant du chimiquier norvégien Bow Asir, attaqué le 26 mars, ont été retrouvés à bord mais aucune arme, donc rien de vraiment illégal.

Vendredi 1er mai à la mi-journée, « les trois suspects ont été raccompagnés à bord de leur embarcation. Ils ont repris la mer, et devaient être prise en charge par un patrouilleur de la marine des Seychelles » a indiqué le commandant du Nivôse, sans donner plus de précision.

Ce n'est pas la première fois, qu'un navire du dispositif Atalante relâche des pirates présumés faute de preuve, mais quand on sait que l'interception a eu lieu à plusieurs jours de navigation du Kenya où sont généralement ramenés les pirates pour y être jugés, on comprend que l'équipage de la frégate de surveillance a peut-être préféré poursuivre ses patrouilles dans le secteur. En effet, deux autres petits bateaux, qui eux sont utilisés pour mener les attaques, avaient été repérés un peu plus tôt sur zone, bien avant que le Nivôse perde leur trace.
Http://www.meretmarine.com
01 / 12 / 2008
Sujet : Golfe d'Aden : La frégate Nivôse vient en aide à un navire piraté


Vendredi 28 novembre 2008 , la frégate Nivôse, en mission d'accompagnement dans le golfe d'Aden, reçoit un message d'alerte du Biscaglia, chimiquier battant pavillon libérien, menacé par des pirates. Celui-ci se trouve à une soixantaine de kilomètres de la frégate, qui assure l'accompagnement du vraquier Senorita auquel sont venus s'agréger une quinzaine d'autres navires commerciaux en transit dans la zone. Sans interrompre sa mission, la frégate dépêche immédiatement un hélicoptère Panther sur le lieu de l'attaque. Une quinzaine de minutes plus tard, l'hélicoptère arrive sur zone et constate que le bâtiment est déjà sous le contrôle des pirates. Il repère alors trois membres de l'équipage, qui ont sauté à l'eau pour échapper à la capture, à la vue de l'appareil français. Ils sont finalement repêchés par un hélicoptère Lynx de la marine allemande et déposés à bord du bâtiment de commandement et de ravitaillement Var.
Alabordache
25 / 09 / 2005
Sujet : Démonstration de l'hélicoptère Panther du Nivôse


Dans le cadre de la RND 2005, la Rencontre Nation Défense 2005, 2ème du nom, l'hélicoptère de la frégate de surveillance Nivôse, basée à la Réunion, a effectué une démonstration en vol au dessus du port de Sainte-Marie en coopération avec la SNSM (Société nationale de secours en mer).

L’exercice consistait à descendre une civière pour secourir un blessé sur la vedette saint-pierroise de la Société nationale de secours en mer.

Cette démonstration qui s'est déroulé de 15h00 à 15h30 ce dimanche 25 septembre 2005 a permis de montrer l'implication de la Marine nationale dans les missions de service public.
Alabordache
09 / 08 / 2005
Sujet : Le Nivose en Wifi
Le Nivose, un navire militaire de l’armée française, est l'un des premiers bateaux équipés du wifi. Son équipage peut ainsi surfer sur internet sans être relié à un terminal. Prochaine étape : le haut débit en pleine mer.

“C’est une grande première sur un bateau militaire”. Eric Jonas, second-maître à bord du Nivose, n’est pas peu fier. Electricien de formation, il est à l’origine de ce projet qui permet à tous les membres d’équipage de se connecter à internet quel que soit l’endroit où ils se trouvent. “Vous savez, les gens sont affectés ici pour un an. Ce bateau est leur maison. Il est normal qu’ils puissent rester en contact permanent avec l’extérieur” explique Gilles Boidevez, le commandant du navire. Jusqu’à présent, le Nivose n’était équipé que d’une seule connection bas débit au web, réservée la plupart du temps aux mails urgents. “Un poste pour tout un équipage, c’était vraiment insuffisant” se souvient Eric Jonas. Navire militaire oblige, le système mis en place sur le Nivose répond à des exigences de sécurité évidentes. Ainsi faut-il montrer patte blanche pour utiliser internet sur le bateau. “On ne peut y accéder qu’à l’aide d’un mot de passe et les seuls ordinateurs référencés peuvent se connecter”. Ceci pour éviter tous risques de fuites. Dans un avenir proche, le Nivose espère que la technologie lui permettra d’utiliser le système en pleine mer. “Pour l’instant, ce système ne fonctionne qu’à quai, liaison téléphonique oblige. Mais dans quelques années, peut être pourra t-on passer via le satellite” espère Eric Jonas. Un satellite, qui, à l’heure actuelle, ne permet qu’une connection bas débit. En attendant, le personnel de bord devrait pouvoir user et abuser du net jusqu’à départ du navire, au mois de septembre prochain. D’ici là, qui sait, peut-être le Nivose nous aura t-il gratifié d’une nouvelle invention. “On ne sait jamais” rigole Eric Jonas.
Témoignages
01 / 02 / 2005
Sujet : Évacuations sanitaires en série aux îles Kerguelen


Fin novembre, la frégate de surveillance Nivôse appareille pour effectuer la dernière mission de l’année 2004 dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises. Cette mission de routine sera cependant d’une durée exceptionnellement longue pour une frégate de surveillance, avec 55 jours d’absence. De plus, elle fera passer à l’équipage le jour de Noël comme le jour de l’an aux Kerguelen.
Pour la majeure partie de l’équipage, cette mission est le premier contact avec cette terre du bout du monde longtemps appelée l’île de la Désolation, en raison de son caractère inhospitalier. La tournée s’annonce sous les meilleurs auspices en raison des conditions météorologiques habituellement plus favorables en cette période de l’année.
Le but de la mission est toujours le même : surveiller notre Z.E.E. (zone économique exclusive) et surprendre d’éventuels navires illicites pêchant la légine, ce poisson d’eau froide très prisé en Asie.
Lorsque nous descendons début décembre, la situation sur zone est calme. Les conditions météorologiques nous permettent de franchir les fameux 40èmes rugissants dans des conditions de mer excellentes, à se demander où sont les vents qui rugissent. Les grands albatros sont quant à eux bien au rendez-vous avec leur vol majestueux.
Le premier contact sur la côte Nord de Kerguelen sera un des moments forts de cette mission. L’objet de tant d’attente est enfin devant nous. Cette terre “désolée” se présente sous ses plus beaux atours avec reliefs et couleurs magnifiques où ici plus qu’ailleurs elles changent en permanence avec le passage rapide des nuages et des rayons de soleil, passant d’un marron sombre à l’ocre jaune puis virant au vert cru sur les reliefs, du blanc au bleu ciel pour les sommets enneigés et enfin du gris profond au bleu lapis des fjords. Il est difficile de rester indifférent face à la beauté de ces panoramas grandioses.
Profitant de notre hélicoptère pour surveiller les espaces maritimes, nous découvrons à l’occasion de mouillages la faune locale. C’est bien souvent avec un regard d’enfant que nous restons en admiration devant une colonie de manchots, de gorfous macaronis, ou bien en se promenant au milieu d’éléphants de mer et d’otaries.
Après une soirée de Noël passée sous la neige, blottis au fond d’une baie afin de se protéger des coups de vent à répétition qui balayent l’archipel, la soirée du réveillon du jour de l’an sonnera la fin de la première partie de notre mission de surveillance.
En effet, nous recevons dans la soirée du 31 décembre au 1er janvier l’ordre de rejoindre rapidement Port aux Français afin d’évacuer vers l’île de La Réunion un marin pêcheur blessé au large lors de la tempête de la nuit précédente. Pour l’anecdote, le vent soufflait cette nuit là à près de 90 nœuds.
Le premier janvier en fin d’après-midi, nous récupérons notre patient et une jeune femme du district devant rentrer en métropole pour raison familiale. Nous faisons route ensuite à grande vitesse vers La Réunion que nous n’atteindrons pas, laissant l’hélicoptère Panther de la frégate Floréal venir récupérer, à une centaine de nautique au Sud de l’île, nos deux passagers.
Une fois le transfert effectué, nous replongeons une nouvelle fois vers les 40èmes, qui ne rugiront toujours pas. Nous ne sommes même pas arrivés dans la Z.E.E. de Kerguelen que nous recevons pour la seconde fois l’ordre de nous rendre à Port aux Français pour évacuer vers La Réunion deux nouveaux blessés, un marin pêcheur et une personne du district de Kerguelen. La veille de notre arrivée à Port aux Français, nous apprenons que nous attend un troisième blessé, un autre marin pêcheur. La mission du Nivôse est passée en quinze jours d’un rôle de police des pêches à celui d’assistance aux pêches ou d’ambulance. Le mythe du “Crabe Tambour” n’est pas loin... N’est-on pas là aussi pour soutenir nos pêcheurs ?
C’est donc avec trois passagers que nous regagnons à nouveau La Réunion. Hélas, cette fois nous n’éviterons pas les dépressions. La première nuit, l’une d’entre elles nous donnera même l’impression de nous utiliser comme un shaker mais au fur et à mesure que nous remontons, nous retrouvons des conditions normales.
Trois jours plus tard, La Réunion apparaît, l’heure du retour a sonné. La mission est terminée et les organismes sereins mais un peu fatigués n’aspirent plus qu’à un peu de repos bien mérité.
Temoignages.re
03 / 09 / 2004
Sujet : Un marin mauricien secouru
Mercredi soir, le Centre régional des opérations de surveillance et de sauvetage (CROSS Réunion) était avisé qu’un marin du navire de pêche “Albatros” battant pavillon mauricien était tombé à la mer à 200 milles au Sud-Ouest de La Réunion. L’homme, de nationalité mauricienne, heureusement repêché aussitôt par l’équipage, se plaignait de douleurs dorsales et d’un début de paralysie.
Le Centre de consultations médicales maritimes de Toulouse (CCMM) a préconisé une évacuation rapide du blessé. Après 22 heures, la frégate de la marine nationale “Nivose”, en mer à ce moment, a fait décoller son hélicoptère Panther, sur demande du CROSS.
Une heure plus tard, l’hélicoptère était sur zone et pouvait procéder à l’hélitreuillage de la victime, immédiatement prise en charge par le médecin du “Nivose”.
Après un ravitaillement sur la frégate, l’hélicoptère a fait route vers l’hôpital de Saint-Pierre, où le marin était déposé à 2 heures du matin.
Temoignages.re
30 / 10 / 2003
Sujet : Un moyen complémentaire du système de surveillance par satellite des zones de pêche
Arraisonné le 13 janvier 2003 par la frégate de surveillance Nivose de la Marine nationale, puis saisi par le directeur régional des Affaires maritimes de La Réunion le 23 janvier, le palangrier congélateur Lince a fait l’objet, en juillet 2003, d’une remise par le ministère de l’Économie et des finances à l’Administration des affaires maritimes, service déconcentré de l’État en charge de la mise en œuvre de la police des pêches maritimes, sous l’autorité du préfet.
Osiris, dieu égyptien, assassiné, dépouillé puis réincarné sous une forme supérieure à son état initial, a donné son nom au patrouilleur austral qui aujourd’hui, bâtiment de l’État français, est affrété coque nue au GIE "protection légine Réunion", puis re-affrété à temps à l’État pour exercer des missions de surveillance des pêches dans les TAAF (terres australes et antactiques françaises). La charte partie coque nue est le document par lequel l’administration maritime confie l’exploitation du patrouilleur de l’État pour l’exécution des misions.
L’exploitation de ce patrouilleur est financée par le territoire des TAAF qui reçoit en contrepartie, un financement des armateurs et le produit de la vente des cargaisons saisies par la Direction des affaires maritimes. Le Conseil régional de La Réunion a assuré le financement de la transformation de ce navire qui, outre sa mission de police des pêches, assure une mission d’assistance et éventuellement de ravitaillement aux navires des entreprises réunionnaises sur les zones de pêche. Pour cela le patrouilleur dispose d’espaces pour le transport de cargaisons et d’une infirmerie.
L’équipage est composé d’une dizaine de marins professionnels de la pêche et de deux gendarmes. Son capitaine est un ancien officier de la Marine nationale qui a suivi une formation spécifique et qui dispose désormais d’un brevet de commandant de la marine marchande.
Le patrouilleur est équipé de moyens de détection et de transmission modernes ; le COSRU exerce le contrôle opérationnel du patrouilleur Osiris, sous l’autorité de la Direction des affaires maritimes. Aux côtés et en étroite collaboration avec les moyens de la Marine nationale, le patrouilleur exercera 150 jours de mer par an dans les zones de pêche à la légine.
Cols bleus
19 / 08 / 2001
Sujet : Navire en flamme
Le 27 juillet 2001, alors qu'il croisait au large des côtes somaliennes, le Nivôse a reçu un appel de détresse d'un navire sur lequel s'était déclaré un incendie. Immédiatement, la frégate se déroutait, commençait à coordonner l'opération de sauvetage et envoyait le Panther de la 36 F pour porter secours à l'équipage qui avait abandonné le Dana, un navire battant pavillon de São Tomé. Regroupés autour du canot de sauvetage, au milieu d'une mer forte, les seize naufragés de nationalité syrienne, yéménite et égyptienne ont été hélitreuillés et déposés sur le Maersk San Jose, un porte-conteneurs danois qui avait rallié les lieux du naufrage en premier. Un des naufragés, atteint d'une crise de paludisme, a été prise en charge médicalement par le Nivôse jusqu'à son accostage à Djibouti.
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