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Actualité Historique Marine - Servicepublic - laglorieuse
P400 La Glorieuse
laglorieuse
Déplacement : 400t
Longueur : 54,8m
Largeur : 8m
Tirant d'eau : 2,5m
Numéro de coque : P686
Date admission au service actif : 25/03/1987
L'actualité / Historique est une page destinée à présenter l'actualité d'une unité. Elle est également destinée à présenter l'histoire d'une unité : son activité passée et future, ses anecdotes, des faits marquants.
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Actualité P400 La Glorieuse
Babar
06 / 12 / 2009
Sujet : La Glorieuse : Opération « Volkeno » au Nord de l’archipel du Vanuatu
Suite au regain d’activité du volcan sur l’île de Gaua, située dans le Nord-Est du Vanuatu, et dans l’éventualité où le gouvernement du Vanuatu déciderait d’évacuer la population de l’île avec l’assistance de la France, le patrouilleur ’La Glorieuse’ vient d’effectuer une mission de reconnaissance.

Il s’agissait, plus particulièrement, de se rendre à Namassari, le point de regroupement des habitants sur Gaua.

Par ailleurs, avec l’appui de l’ambassade de France à Port-Vila et l’autorisation du Haut-Commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie, ’La Glorieuse’ avait à son bord du personnel de la Croix rouge française qui a débarqué à Gaua ainsi que trois tonnes de fret de la Croix rouge, contenant des équipements de secours et de première urgence.

Les Forces armées de Nouvelle-Calédonie ont, quant à elles, remis de l’eau, de l’essence ainsi que des pastilles de désinfection pour la consommation d’eau. Tout ce matériel a été livré à Namassari.

TĂ©moignage :

Ce n’est que quelques jours avant de partir pour ce qu’ils s’imaginent être une mission de surveillance maritime de routine au Vanuatu, que la trentaine de membres d’équipage du patrouilleur « La Glorieuse » découvre l’opération humanitaire qui va leur être confiée. Il s’agit pour eux de se rendre au Nord de l’archipel du Vanuatu sur l’île de Gaua où l’activité de son volcan le Mont Garet suscite l’inquiétude, faisant envisager une éventuelle évacuation de ses quelques 1900 habitants. Difficultés respiratoires, irritation des yeux, augmentation du nombre de diarrhées du fait de l’eau contaminée. voilà les problèmes liés aux émanations gazeuses et retombées de cendres volcaniques auxquels la population est confrontée aujourd’hui.

Tandis que les autorités ni-vanuatu débutent le déplacement des personnes dont les villages se retrouvent sous les projections de cendre, l’Est abrité de l’île accueille ces réfugiés. Les Forces Armées en Nouvelle Calédonie sont sollicitées par la Croix Rouge française pour transporter du fret humanitaire vers l’île menacée par le volcan. « La Glorieuse » reçoit la mission d’appareiller avec 3 tonnes de fret, soit une unité logistique pour soutenir jusqu’à 600 réfugiés. L’équipage accueille à son bord deux membres de la PIROPS, Plate-forme d’Intervention Régionale Océan Pacifique Sud de la Croix-Rouge française. Par ailleurs un médecin de l’aéronavale, une infirmière de l’Armée de l’air mais aussi un gendarme maritime embarquent pour la mission.

Le 30 novembre « La Glorieuse » met donc le cap sur Gaua, avec un équipage particulièrement enthousiasmé par l’opération qui se profile. L’évacuation d’envergure initialement évoquée, consistant à transférer la population vers Vanua Lava, île plus au Nord, n’aura finalement pas lieu - du moins pas pour l’instant. En effet, d’après les scientifiques vulcanologues se relayant sur place pour effectuer des relevés sismiques, l’activité du volcan restera probablement limitée à des éruptions de faible intensité, et ce durant encore plusieurs semaines voire plusieurs mois. « La Glorieuse » honorera néanmoins sa mission de débarquement de fret et personnel humanitaire.

Moins de 48 heures après son appareillage, c’est à l’aube que l’équipage aperçoit les côtes de l’île de Gaua qui, surplombée d’un épais nuage sombre, laisse présumer les sinistres conséquences du Mont Garet. Le bâtiment mouille dans la baie de Lésalav située au Nord-Est, au large du village de Namasari où sont réfugiées une partie des 359 personnes déplacées. Sous les yeux de la police locale, les deux civils de la Croix-Rouge ainsi qu’une équipe chargée d’évaluer la situation sur place débarquent à terre en zodiac. Sur place, l’accueil est des plus chaleureux et le contact s’avère très facile. Ils se présentent au chef de la tribu et saluent un à un les habitants rassemblés pour l’occasion. Ainsi ils « font coutume », comme on appelle traditionnellement cela en Mélanésie.

Tandis que la population locale aide de bon coeur au débarquement du fret de la Croix-Rouge, une équipe de plongeurs est déployée pour reconnaître les approches et les sites de débarquement potentiels au cas où d’autres opérations soient à venir. De son côté, l’équipe d’évaluation récolte un maximum d’informations sur la situation sanitaire et matérielle. Après une visite du dispensaire par l’infirmière de l’île, ils se rendent à l’aérodrome à la rencontre de l’unique médecin, un Australien installé.
Net-marine
31 / 08 / 2008
Sujet : des nouvelles.... de Net-Marine
28 avril : La Glorieuse appareille de Nouméa avec trois hydrographes du SHOM et des plongeurs démineurs à son bord afin de commencer à déblayer la faille pour effectuer les recherches. Dans le cadre de l’expédition Vanikoro 08, la participation du batral Jacques Cartier est annulée suite à une indisponibilité technique du bâtiment.
Alabordache
16 / 05 / 2007
Sujet : La glorieuse arraisonne un pĂŞcheur taiwanais
Une affaire en jugement est sur le point de s'ouvrir en Nouvelle-Calédonie suite à l'interception d'un bateau de pêche taiwanais dans les eaux du territoire. Le bateau, le Jing Chuen 68, a été repèré la semaine dernière suspectée de pêcher illégalement dans la zone exclusive de la Nouvelle-Calédonie.

La patrouilleur de la marine nationale La Glorieuse a essayé d'établir le contact avec le bateau de pêche, mais n'a pas obtenu de réponse. La marine a alors décidée de monter à bord du bateau et de l'escorter. Les affaires maritimes françaises et le procureur en Nouvelle-Calédonie l'ont poursuivi devant le tribunal.
TĂ©moignages
05 / 09 / 2006
Sujet : Sauvetage de 2 naufragés comoriens
Un miracle. Il n’y a pas d’autres mots pour évoquer le sauvetage avant-hier de 2 naufragés comoriens par les marins du patrouilleur de la Marine Nationale “La Boudeuse”, entre Mayotte et les Glorieuses, à plus de 100 km de la terre la plus proche.

Dimanche 3 septembre 2006 matin, alors que le bâtiment patrouille dans une zone très peu fréquentée et que les marins s’entraînent à combattre un feu à bord, le chef de quart distingue sur l’eau une tache rouge ressemblant à une marque de pêche. Dans le cadre de sa mission de prévention de la pêche illicite dans les zones de souveraineté françaises ordonnée par le commandant supérieur des FAZSOI, le patrouilleur fait aussitôt route vers cette bouée, afin de vérifier sa conformité. C’est alors que les équipes de quart réalisent que les 2 taches de couleur qu’ils voient par intermittence au gré de la houle sont en fait 2 naufragés, debout dans une barque entièrement immergée, et dont seuls le buste et la tête sortent de l’eau.

Aussitôt remontés à bord du patrouilleur, les naufragés sont pris en charge par l’infirmier. Déshydratés, affamés et en état d’hypothermie, ils sont très progressivement ré-alimentés et réchauffés. Ils racontent alors être partis 6 jours plus tôt d’Anjouan, aux Comores, pour aller pêcher. L’état de la mer a fait chavirer leur barque dès le deuxième jour de pêche, provoquant la perte de tout leur matériel et de leur moteur. Depuis 4 jours, ils étaient donc à la dérive dans une barque flottant entre deux eaux, complètement démunis et promis à la noyade. Ils n’avaient rien mangé depuis ce tragique accident et buvaient de l’eau de mer.

Après avoir récupéré leur barque, qui présentait un danger pour la navigation, “La Boudeuse” met le cap sur Mayotte, afin de transférer les 2 naufragés vers la vedette “Dharuba” de la Marine Nationale, stationnée à Dzaoudzi, qui les a ramenés à quai pour qu’ils soient vus par un médecin et raccompagnés ultérieurement à Anjouan.
Nouvelles calédoniennes
31 / 01 / 2005
Sujet : La Glorieuse en grande révision pour la première fois à Nouméa
Le quai principal du port autonome présentait, vendredi dernier, un aspect pour le moins inhabituel. En effet, de la station des remorqueurs jusqu’au poste 7, il était littéralement plein comme un Ĺ“uf.

Ceux qui étaient présents vendredi sur le quai principal du port autonome ont eu droit à un spectacle qui portait à la rêverie. En effet, non seulement ce quai, chose rare, affichait complet mais il proposait la palette la plus diversifiée qui soit des différents types de navires. Bien sûr, en partant de la station des remorqueurs, on trouvait les habituels remorqueurs et lamaneurs des sociétés Sorecal et Viratelle.
Mais ensuite, en début de poste 4, il y avait le patrouilleur de la Royale La Glorieuse en grande révision pour la première fois à Nouméa. Cette révision est d’ailleurs en train de s’achever et les premiers essais à la mer devraient avoir lieu dans le courant de la semaine prochaine.
Partageant le poste 4 avec le patrouilleur de la marine nationale, venait ensuite le palangrier à la longue ligne japonais Hinode Maru 18. Ce bateau vient d’achever une campagne de pêche de plusieurs mois dans le Pacifique Sud et a fait une courte escale à Nouméa pour avitailler avant de rentrer au Japon.
Nouvelles calédoniennes
05 / 01 / 2005
Sujet : Le catamaran «Te Marama» panse ses plaies
Le catamaran Te Marama est à terre, en réparations, à Nouville Plaisance depuis le début du mois de juillet. Son propriétaire, Patrick Humbert, en profite pour lui faire subir d’importantes transformations.
Le bateau, rappelons-le, avait été endommagé lors d’un abordage consécutif à une tentative de sauvetage par un cargo, dans des vents de 50 nĹ“uds. Etraves enfoncées et mât aile déchiré, le catamaran avait finalement été remorqué à Nouméa par des moyens privés.
Son équipage avait été recueilli par le patrouilleur
P 400 La Glorieuse, de la Marine nationale, le skipper étant resté à bord de Te Marama, refusant d’abandonner son bateau.
Les étraves ont été refaites depuis et le moteur central supprimé.
Patrick a décidé d’installer à la place deux moteurs latéraux dans les coques bâbord et tribord. Le mât aile, semblable à une aile d’avion de 58 m2 de type ATR 42, a été déposé récemment et stocké sous la coque du catamaran afin d’être à l’abri en cas de cyclone. La partie endommagée de l’aile, en carbone kevlar, sera refaite dans un autre matériau. Plusieurs mois seront encore nécessaires pour que Te Marama puisse reprendre son sillage.
Corlobe.tk
28 / 12 / 2004
Sujet : La Glorieuse, l’un des deux patrouilleurs de la Marine nationale, est descendue de la cale de halage. Les travaux sur le bâtiment vont se poursuivre pendant encore au moins un mois au Port autonome.
La Glorieuse est bien étanche... « Nous avons fait deux arrêts de vingt minutes à la descente de la cale de halage pour vérifier l’étanchéité des lignes d’arbres et des safrans, puis celle des vannes de coque latérales, explique le commandant de la Glorieuse, le capitaine de corvette Emmanuel Müller. C’était le risque principal... »

Le patrouilleur de la Marine nationale est descendu, mercredi dernier, de la cale de halage de Nouville après, entre autres, d’importants travaux sur la coque. « Les mesures que nous avons fait faire ont montré qu’à l’étrave, l’épaisseur n’était plus acceptable, précise Bernard Apperé, le chef de projet, représentant de la Direction des constructions navales, maître d’œuvre du chantier. Il a fallu ressouder des placards de tôles. »

Le patrouilleur, dont la période d’entretien programmée s’effectue pour la première fois en Calédonie, devrait rester encore au moins un mois à quai. Le bateau, qui a été complètement déshabillé, devrait reprendre une allure plus normale dans les semaines à venir. « Nous allons tout réinstaller, poursuit le commandant de la Glorieuse. L’étape la plus sensible sera le lignage des moteurs. »

Concrètement, il va falloir aligner dans l’axe tous les éléments de propulsion. Une opération possible uniquement par temps calme et qui se réalise au laser. « Il faut absolument être très précis, reprend le capitaine de corvette Emmanuel Müller. Une fois l’alignement réalisé, nous coulons de la résine sous le moteur pour conserver la position. »

Les essais à la mer du bâtiment devraient avoir lieu au début du mois de février. L’occasion de vérifier si l’axe était bien le bon...
Source : cols bleus
10 / 03 / 2003
Sujet : La relève de l’été austral
En Nouvelle-Calédonie, la Marine vient de voir apparaître de nouveaux visages, arrivés avec le premier rotary de l’année 2003. Parmi eux, le LV Guillaume Arnoux, Calédonien de retour sur le Caillou, trente ans après sa naissance à Nouméa, qui prend le commandement de La Glorieuse.
Année : (champs indispensable,sur 4 chiffres)
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