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Actualité Historique Marine - Servicepublic - lemalin-sp
Le Malin
lemalin-sp
Déplacement : 1000t
Longueur : 57m
Largeur : 11m
Numéro de coque : A616
Date admission au service actif : 2005 (lancement en janvier 1997)
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Actualité Le Malin
Babar
26 / 10 / 2011
Sujet : Le Malin : Le bateau pirate devenu patrouilleur pour l'armée


C'est une histoire peu commune que propose la marine nationale française. Une histoire qui voit un ancien bateau pirate engagé dans la pêche à la légine transformé en navire de soutien militaire. Le si bien nommé "Le Malin" a effectivement joué des tours à ses anciens propriétaires.

Le navire de la marine nationale "Le Malin" est arrivé à la Réunion ce mardi matin à 9h. Ce patrouilleur, ancien "palangrier pirate de légines" dénommé à l'époque "l’Apache" avait été arraisonné par l’Albatros en 2004, autre navire militaire et lui-même patrouilleur. Le navire pirate se trouvait alors en action de pêche illégale. Pris sur le vif, il retrouve aujourd'hui, après totale transformation de son espace de vie, le quai de la base navale du Port Ouest, mais cette fois-ci pour des activités... autorisées.

Long de 54 mètres pour un déplacement d’environ 1.000 tonnes, "Le Malin" vient remplacer le P400 "La Rieuse" (voir notre article du mois de juin 2011 ) vendu au Kenya et qui porte désormais le nom "Harambe" pour sa seconde vie.

En lieu et place du navire vieillissant, la marine nationale a "retapé" un navire saisi il y a sept ans. "Cette transformation est une opération inédite du fait d'avoir intercepté un bateau pris en flagrant délit de pêche illégale", confirme Pierre Leterme, commandant de la base navale port des Galets. Résultat des courses : l'ancien armateur a été débouté de toutes ses actions en justice et le bâteau de "pirates" est passé dans les mains adverses. "A la suite de son arraisonnement, le navire est passé sous le contrôle de l'Etat et donc de la marine nationale en 2005", soit un an après sa saisie ajoute le capitaine de corvette Damien Lopez, commandant du patrouilleur "Le Malin".

Au-delà de l'aspect extérieur qui voit les couleurs tricolores chatouiller les flans de la coque du navire, le plus intéressant se trouve sous le pont. L'ancienne cale de poissons d'un seul tenant (70 tonnes tout de même) a été divisée en trois compartiments. A côté de la salle des machines, une mini salle de sport, un autre compartiment entrepose le matériel de guerre dont les mitraillettes se comptent par dizaine et qui n'attendent que les munitions placées en tête de pont. Enfin, des écoutilles pour parer à une éventuelle voie d'eau sont venues solidifier la fiabilité du navire.

Et c'est avec un équipage de 21 hommes que le navire devra surveiller les zones économiques exclusives situées dans la zone Nord océan Indien, des Iles Eparses, du Canal du Mozambique, de Mayotte et jusqu'aux Seychelles principalement. Ce patrouilleur flambant neuf ou presque vient compléter une flotte de deux frégates, un bâtiment de transport léger amphibie et donc d'un patrouilleur déjà présent : l'Albatros.

Avant sa saisie, le navire de pêche battant pavillon hondurien et composé d'un équipage multi-nationalité avait navigué de 1997 à 2004 uniquement. Une aubaine pour la marine nationale qui récupère donc un bâtiment considéré comme quasi neuf. L'opération est bonne aussi sur un plan comptable : en lieu et place d'un patrouilleur neuf d'un coût de 12 millions d'euros, la transformation de ce navire de pêche en bâtiment militaire aura coûté moitié moins à l'Etat. Et c'est à Brest que son lifting aura été rendu possible, neuf mois de réparations et de mise aux normes ont été nécessaires. "Nous avons dû former l'équipage spécifiquement pour ce navire qui n'existe qu'en un seul exemplaire. Le manuel d'utilisation, c'est nous qui l'avons créé", en rigole le commandant Damien Lopez.

Quant à la disponibilité de ce bâtiment militaire des FAZSOI ? La réponse ne se fait pas attendre. "Il est opérationnel dès aujourd'hui", sourit le commandant de la base navale, Pierre Leterme. "Mais les hommes vont souffler un peu", le navire a tout de même quitté Toulon à la mi-septembre. Et il n'est pas venu les cales vides. "Voyez ces pièces détachées attendues pour nos autres bâteaux". Il n'y a décidément plus de petites économies...
Marine
25 / 11 / 2006
Sujet : bsc le malin
le malin est devenu le batiment de support des nageurs de combats il soutiendra le commando hubert

17 / 11 / 2005
Sujet : La signature de l’acte de cession du navire rebaptisé “Le Malin”
La Marine nationale a fait l’acquisition de “L’Apache”, palangrier qu’elle avait arraisonné le 25 juin 2004. La signature de l’acte de cession du navire rebaptisé “Le Malin”, a eu lieu le 14 novembre 2005 au port-Ouest de La Réunion.

Bonne reconversion pour le palangrier “L’Apache”. Ancien pilleur de légines, il sera désormais aux services de l’État, comme bâtiment de soutien. Ses énormes capacités de stockage serviront à entreposer du matériel et à soutenir les commandos à Toulon, pendant leurs entraînements et leurs opérations.

C’est l’état remarquable de “L’Apache” qui a suscité l’intérêt de la Marine nationale. Le 7 septembre 2005, une transaction a donc été conclue entre les Ministères des finances et de la défense, pour l’acquisition du bâtiment. Il aura pour 1er commandant, le capitaine de corvette Stanislas Guillier. “Le Malin” quittera la darse militaire pour Toulon, en février prochain, avec à son bord, 18 membres d’équipage.

Le palangrier a été rebaptisé sous le nom du célèbre contre-torpilleur “Le Marin”. Ce dernier s’est illustré en mer de Norvège en 1940, contre les convois ennemis, puis en Adriatique et en mer Égée, où il a coulé un sous-marin allemand et plusieurs autres navires. Il a également participé au débarquement de Provence en août 1944.

Pour rappel, c’est le 25 juin 2004 que “L’Apache”, pilleur de légines, est arraisonné dans la Zone économique exclusive (ZEE) de la France. Il était pisté par l’Albatros, patrouilleur de la Marine nationale, depuis le 17 juin 2004 qui le soupçonnait de pêche illégale. En septembre 2004, le capitaine du navire et le capitaine de pêche sont condamnés par le Tribunal de grande instance de Saint-Denis. Le 23 juin 2005, la Cour d’appel rend un arrêt, confirmant le jugement du tribunal. Le pourvoi en cassation devrait être étudié avant l’hiver austral 2006.

20 / 10 / 2005
des bruits de coursive ?........c'a serait le remplacement du poseidon

20 / 10 / 2005
On a toujours besoin de bâtiments de soutien en métropole (plongée, etc.)... Celui-ci présente en outre l'intérêt de pouvoir être "transformé" à moindre coût. En ce qui concerne La Réunion, il faut croire que le remplacement de l'Albatros n'est pas à l'ordre du jour, pas plus que le partage de ses missions avec un vague "sister-ship" (qu'il aurait alors fallu équiper d'un canon).
Personnellement, je trouve que c'est plutôt "une bonne décoince"... Combien d'années aurait-il fallu attendre avant de pouvoir armer un bâtiment de soutien neuf d'un tonnage et de capacités équivalentes ?

19 / 10 / 2005
Quel bâtiment Le Malin va-t-il remplacer? Un peu dommage qu'un navire construit pour pouvoir naviguer dans les difficiles conditions de l'Antarctique soit affecté à Toulon. Pourquoi pas à La Réunion?
Alabordache - marine nationale
18 / 10 / 2005
Sujet : Mise en service du "Le Malin" (Marine nationale)


Le 25 juin 2004, lors d'une mission de police des pêches, le patrouilleur Albatros a intercepté le navire palangrier Apache, de nationalité hondurienne, qui se trouvait dans la zone de Kerguelen sans avoir effectué de déclaration préalable d'entrée. Accusés d'avoir illégalement pêché en ZEE française, son capitaine et le capitaine de pêche ont été condamnés et le bateau appartient désormais à la France. La marine nationale a arraisonné plus de 20 navires pour pêche illicite depuis 1997. Les sanctions sont particulièrement lourdes pour les contrevenants, qui sont passibles d'amendes de 152.450 euros, augmentées de 76.225 euros par tonne pêchée au-delà de deux tonnes (loi n° 66-400 du 18 juin 1966).

En raison de son excellent état et de ses qualités de construction, la Marine nationale a souhaité reprendre L'Apache afin de procéder au remplacement d'un des bâtiments de la Flotte.

Après accord du ministère des finances, l'ancien palangrier L'Apache prend désormais le nom de "Le Malin" et devient un bâtiment de soutien de la Marine nationale. Ce nom a déjà été porté trois fois dont le dernier, le contre tropilleur Le Malin, construit en 1931 s'est illustré en 1940 dans le Skagerrak (Norvège) et au cours du débarquement de Provence en août 1944.
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