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Actualité Historique Marine - Servicepublic - pourquoipas
Pourquoi pas ?
Déplacement : 3300t
Longueur : 80,64 mètres
Largeur : 14,90 mètres
Tirant d'eau : 6,2 mètres
Date admission au service actif : 2005
L'actualité / Historique est une page destinée à présenter l'actualité d'une unité. Elle est également destinée à présenter l'histoire d'une unité : son activité passée et future, ses anecdotes, des faits marquants.
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Actualité Pourquoi pas ?
Babar
05 / 01 / 2010
Sujet : Décès du commandant du Pourquoi pas? aux Antilles


Le Concarnois Philippe Guillemet, commandant du navire Pourquoi Pas? est décédé, le 31décembre au soir, d'une crise cardiaque à bord de son bateau. En mission hydrographique dans l'arc antillais, le navire était en escale à Sainte-Lucie. Le commandant, âgé de 54 ans, venait d'achever sa dernière mission à la mer. Il en avait terminé avec son dernier embarquement pour Genavir. Tout juste arrivé à Sainte-Lucie, il devait être relevé deux jours plus tard et prendre sa retraite dans quatre mois, achevant une carrière bien remplie au sein d'un armement rejoint en 1981. Parti à la mi-novembre de Brest, le commandant menait une mission pour le compte du service hydrographique de la Marine(Shom) dans plusieurs endroits de l'arc antillais. Philippe Guillemet s'apprêtait à fêter ce dernier réveillon avec ses marins lorsque, se sentant très fatigué, il ne s'est pas joint à l'équipage et a préféré aller se reposer dans sa cabine. Ses collègues sont venus prendre de ses nouvelles à plusieurs reprises dans la soirée et l'ont laissé s'endormir. Marié et père de trois enfants, Philippe Guillemet laissera le souvenir d'un commandant des plus posés. Très investi dans son métier, le commandant en titre depuis 1997 avait pris part à la réflexion et à la conception des derniers navires de son armement, notamment du PourquoiPas?, la plus grosse unité de Genavir (107m) qu'il commandait depuis son lancement. À Concarneau (29), sa disparition a provoqué un choc.
Babar
11 / 12 / 2009
Sujet : Le Pourquoi pas en mission dans les Caraibes
Le navire océanographique le Pourquoi Pas ?, travaille durant deux mois entre les îles de Saint-Martin et Saint-Barthélemy. Calcul des profondeurs dans les baies et au large, repérage des zones de mouillage, observation des marées locales. Au terme de cette mission, une nouvelle carte marine des îles du Nord, sera éditée.
Le navire le Pourquoi Pas ?, est arrivé à Saint-Martin le week-end dernier, après une quinzaine de jours de traversée de l'Atlantique depuis Brest.
Avec ses plus de 100 mètres de long, ses 8 ponts, il était quasi impossible de ne pas l'apercevoir au large dans la baie de Marigot. Lundi en soirée, il repartait vers Saint-Barthélemy, car son travail sur le terrain se déroulera essentiellement entre les deux îles du Nord, au cours des prochaines semaines, et jusqu'à la fin du mois de janvier. Le but de cette mission : compléter la carte marine locale, qui jusqu'à présent manque de précision sur de larges zones. «Les levés indiqués sur la carte sont anciens » explique Raymond Guillou, ingénieur en chef des études et techniques d'armement. « Ils datent du XIXe siècle, ou au mieux des années 50. Or, les plaisanciers aujourd'hui, qui sont de plus en plus nombreux en Caraïbe, disposent, eux, d'outils techniques de plus en plus performants d'aide à la navigation. GPS, radar, cartes numériques, or, il est nécessaire que les informations des cartes soient au moins aussi précis que ces outils le permettent».
Les 16 scientifiques hydrographes du Shom (Service hydrographique et océanographique de la marine) à bord du Pourquoi Pas ?, vont donc s'atteler à une tâche de mesures sur le terrain afin d'affiner les cartes marines, sur toute la zone des eaux territoriales françaises entre les deux îles du Nord, mais aussi entre Saint-Martin et Anguilla. Un premier groupe travaillera sur les fonds de 30 à 200 m de profondeur afin de noter toute la géographie sous-marine de la zone. Une autre équipe, à bord cette fois d'une petite vedette, «Pélican», ira dans les baies peu profondes faire les mêmes relevés, pour noter notamment, les voies marines d'entrée les plus adaptées. «Dans certains secteurs il sera utile de déterminer les voies recommandées pour les transits des paquebots entre Anguilla et Saint-Martin, mais aussi dans le canal de Saint-Barth. Notre travail déterminera enfin une zone interdite au mouillage dans l'axe de la piste de l'aéroport de Grand Case, qui sera ensuite clairement indiquée sur la carte marine, à la demande de l'aviation civile». Les scientifiques du Pourquoi Pas ?, ont également déposé deux marégraphes près de la pointe Arago (à la sortie du port de Galisbay) afin, durant le passage de deux lunaisons, de mesurer précisément les impacts des marées autour de Saint-Martin. «Ce travail permettra dans l'avenir de prévoir de façon très précise le niveau des marées sur les îles du Nord, ce qui jusqu'ici était plutôt aléatoire». Enfin, toujours dans le souci d'éditer des cartes marines, les plus complètes possibles, les équipes du Shom embarqués sur le navire, doivent également parcourir la côte afin de noter les amers, c'est à dire des points remarquables, facilement identifiables sur la côte qui servent de repères visuels lors de la navigation côtière.
Un long travail de relevés et d'analyses des côtes et des fonds marins qui se retrouvera sur les cartes marines d'ici quelques années seulement, le temps de traiter les données du terrain...
Alabordache
05 / 11 / 2005
Sujet : Le "Pourquoi Pas ?" au secours d'un plaisancier
Un plaisancier polonais de 67 ans a passé plusieurs heures jeudi en perdition en mer sur son voilier de 12 m, à l'ouest de la pointe du Raz (Finistère), avant d'être secouru après plus de 5 heures d'enquête pour le localiser, a annoncé vendredi la préfecture maritime à Brest.

L'homme, un skipper polonais aguerri, a été pris jeudi après-midi dans une tempête avec des vents de 50 km/h et des creux de 5,50 m, alors qu'il se trouvait approximativement, selon lui, à 250 km à l'ouest de la pointe du Raz.

Désemparé après avoir dématé et sans radio, l'homme a alors appelé un ami en Pologne avec son téléphone satellitaire pour demander de l'aide.

A la suite d'une série de coups de téléphone pour trouver une personne parlant français, le Cross Corsen a finalement été averti à 20H30.

Le Cross, après avoir mené une enquête pendant 5 heures pour tenter de localiser l'appareil, a envoyé sur place un avion Falcon 50 de Lorient. Plusieurs navires ont été déroutés, dont le "Pourquoi pas" nouveau bateau de l'Ifremer et de la marine nationale, ainsi que le porte-conteneur de la compagnie CMA-CGM, le "Manet", long de plus de 200 m.

Le Falcon a finalement repéré le bateau dans la nuit, et le Manet a réussi à manoeuvrer pour récupérer le naufragé, en état de choc et d'hypothermie. Le Polonais a ensuite été hélitreuillé par un appareil médicalisé super Frelon, qui l'a conduit au CHU de Brest.
Alabordache
28 / 09 / 2005
Sujet : Ifremer et la Marine nationale ont baptisé leur navire océanographique


Ifremer (55 %) et la Marine nationale (45 %) se sont offert un joli navire de 107 mètres, Le Pourquoi Pas ?, pour sonder les océans. Hier, au cours de la cérémonie de baptême, sa marraine, Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense, a assuré que « la mer est au coeur des défis majeurs que nous avons à relever ». Tant mieux pour Brest, qui, avec ou sans port scientifique, chérit volontiers les bateaux océanographiques.

· Des emplois à Ifremer. « Ifremer aura un budget en progression, avec des créations d'emplois ». François Goulard s'est contenté de cette déclaration rassurante pour ne pas trop dévoiler le budget du ministre des finances, qui doit être rendu public aujourd'hui. Mais après une période de vaches maigres, pendant laquelle, en cours d'année 2003, Ifremer avait vu son budget fondre de 23 %, l'annonce devrait redonner un peu le moral aux 1 300 salariés. Dont 700 à Brest. Le budget annuel moyen d'Ifremer est de l'ordre de 150 millions d'euros.

· Le Nautile sauvé des eaux ? Premier signe de cette embellie, le submersible Nautile ne devrait pas être désarmé. « Le Nautile a vocation à faire partie de la flotte d'Ifremer », a assuré Jean-Yves Perrot, Pdg de l'institut. « Il y a encore une place pour les engins habités ». Depuis plusieurs mois, l'avenir du submersible semblait compromis. Le maintien de cet équipement médiatique (colmatage des fuites du Prestige, plongée sur le Titanic), avait en tout cas été habilement mis en relation directe avec une demande de hausse des crédits, dans le contrat quadriennal Etat-Ifremer 2005-2008. Construit en 1985, c'est un des rares submersibles au monde, capable de transporter trois personnes à 6 000 mètres de fond. Pourtant, un peu boudé par les programmes scientifiques, il n'a pas plongé depuis juin 2004.

· Bouteille cassée. Cette fois, la bouteille de champagne, lâchée par Michèle Alliot-Marie s'est bien fracassée sur la coque au premier coup. On se souvient des déboires de Bernadette Chirac, qui avait dû s'y reprendre à trois reprises lors du baptême de l'Abeille Bourbon. Il faut dire que cette fois, le verre avait été légèrement scié au préalable...

· Sept bateaux Ifremer. Ifremer dispose de sept navires confiés à la société d'armement Génavir, . Quatre hauturiers (Pourquoi Pas ?, Atalante, Thalassa, Suroît) et trois côtiers (Europe, Gwen Drez et Thalia). Génavir emploie plus de 200 marins et 80 techniciens chargés des instruments de mesures.

· Les syndicats de la Défense interpellent le ministre. Hier midi, un rassemblement de salariés dépendant du ministère de la Défense eu lieu devant la préfecture maritime à l'initiative de la CFDT, de la CGT, de l'Unsa et de FO. Une manière d'interpeller le ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, sur un certain nombre de sujets d'actualité comme l'extension du dispositif amiante à tout le ministère, le changement du statut du Shom ou encore le rapprochement entre DCN et Thales. Dans le courant de la journée, chaque syndicat a été reçu par M. Guillou, conseiller social de Michèle Alliot-Marie.
Alabordache
27 / 09 / 2005
Sujet : Le navire amiral d'Ifremer baptisé le 27 septembre 2005
Le Pourquoi Pas ?, le nouveau navire océanographique d'Ifremer et de la Marine nationale, est baptisé aujourd'hui, mardi 27 septembre 205, à Brest. Il a pour marraine Michèle Alliot-Marie, le ministre de la Défense. Actuellement en phase d'essais, ce bateau pourra embarquer 40 scientifiques pour des missions de un à trois mois.

C'est un bateau unique en son genre. En tout cas en France. Nouveau navire amiral d'Ifremer, le Pourquoi Pas ? est baptisé aujourd'hui à Brest. Il aura pour marraine Michèle Alliot-Marie, le ministre de la Défense. Rien d'étonnant à cela puisqu'il est issu d'une coopération Ifremer-Marine nationale. Le Pourquoi Pas ? naviguera 180 jours par an pour les civils et 150 jours pour les militaires.

Livré en juillet à Ifremer, le Pourquoi Pas ? poursuit actuellement ses essais. « Nous sommes vraiment contents du navire qu'Alstom nous a fourni », souligne Olivier Lefort, l'ingénieur responsable du suivi du projet à Ifremer. Il a tout de même fallu résoudre un ennuyeux problème de bruit repéré lors de ses premières sorties. Aujourd'hui, tout semble rentré dans l'ordre. « Les hélices ont été corrigées, indique Olivier Lefort. Cela a demandé un gros travail d'analyse. Désormais, nous sommes sous la courbe. »

Trois laboratoires

Ce qui n'a rien d'anecdotique. Un bruit trop important du bateau pouvait perturber les mesures acoustiques des scientifiques. Cette nécessité d'être silencieux explique le choix d'une propulsion diesel-électrique. Toutes les sources de vibrations sont montées sur des suspensions élastiques. Les moteurs mais aussi les réfrigérateurs et les machines à laver du bord !

Armé par Genavir, le Pourquoi Pas ? remplace nominalement le Nadir dans la flotte d'Ifremer. Il offrira des capacités tout à fait nouvelles par rapport à celui-ci. « Le Nadir n'était en fait qu'une barge porte-engins, explique Olivier Lefort. Il n'y avait pas de laboratoires à bord, ni de possibilité d'acquisitions de données en route. D'autre part, il ne pouvait embarquer que 17 scientifiques. » Le Pourquoi Pas ?, lui, emmènera 40 scientifiques à son bord pour des missions d'un à trois mois.

Ils travailleront dans des conditions de travail « meilleures qu'à terre ». D'abord, parce qu'ils disposeront de trois laboratoires principaux, dont l'un offre le même niveau de propreté qu'une salle d'opération chirurgicale. Ensuite, parce que le réseau informatique est extrêmement performant, grâce à son très haut débit (1 gigabits), et très accessible. « Grâce au Wi-Fi, les scientifiques pourront s'y connecter partout, y compris dans leur cabine. »

Construit aux Chantiers de l'Atlantique, à Saint-Nazaire, le Pourquoi Pas ? a coûté 66 millions d'euros. Il a été financé à 55 % par Ifremer et à 45 % par la Marine nationale. C'est le second bateau issu de leur coopération après le Beautemps-Beaupré, qui a effectué ses premières campagnes scientifiques en mer d'Arabie début 2004. Deux grosses différences : l'équipage du Beautemps-Beaupré est militaire, celui du Pourquoi Pas ? civil. Et le Beautemps-Beaupré ne dispose pas des mêmes capacités de mise à l'eau.

Le Pourquoi Pas ? sera opérationnel début 2006. Il effectuera sa première mission scientifique pour le compte du Service hydrographique et océanographique de la Marine (Shom) dans la zone Antilles-Guyane.
Alabordache
01 / 09 / 2005
Sujet : Le navire océanographique "Pourquoi pas ?" termine ses essais


Le navire océanographique commun à l'Ifremer et la Marine nationale "Pourquoi pas ?" termine ses essais dans quelques jour. Long de 107 mètres, naviguant à 14,5 noeuds, cette réalisation d'Alstom Marine est un concentré de technologie. L’Ifremer a pris livraison le 6 juilet 2005 de son nouveau navire océanographique, Pourquoi pas ?, construit à Saint-Nazaire par Alstom Marine. La commande avait été passée le 17 décembre 2002.

Le Pourquoi pas ? dont le financement est assuré à 55% par l'Ifremer et à 45% par la Défense, pour un montant global de 66 millions d'euros, sera armé par le GIE Genavir, armateur des autres navires de l'Ifremer.

Sur le pont arrière, il embarquera le Nautile, capable de plonger par 6 000 mètres de fond, et le Victor 2000, un sous-marin téléopéré depuis la surface. La Marine nationale disposera à bord du Newtsuit, un scaphandre atmosphérique pouvant intervenir jusqu'à 300 mètres de profondeur. La coque est truffée de sondeurs acoustiques pour ausculter les petits et grands fonds. Le nouveau Pourquoi pas ? sillonnera toutes les mers du globe sauf ­ paradoxalement ­ les zones polaires, car il aurait fallu, pour cela, concevoir une coque renforcée alourdissant son poids.

A l'heure du réchauffement terrestre, le « Pourquoi-pas ? » sera un outil précieux pour percer le secret des océans. Il naviguera 180 jours par an pour l'Ifremer et 150 jours pour la Marine nationale, puisqu'il porte une double casquette.

L'origine de son nom est un hommage au commandant Charcot, dont tous les navires s'appelaient... « Pourquoi-pas ? ».
Marine nationale
26 / 07 / 2005
Sujet : Livraison du navire océanographique Pourquaoi Pas ?


L’institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) a réceptionné le 5 juillet son nouveau navire océanographique, Pourquoi pas ?, construit à Saint-Nazaire par Alstom Marine. Il a été financé à 55 % par l’Ifremer et à 45 % par la Défense, pour un montant global de 66 millions d’euros. Long de 107 m, le Pourquoi pas ? naviguera sur tous les océans (sauf les régions polaires).
Son activité se répartira entre la Marine - le Shom en particulier, et la communauté scientifique française, représentée par l’Ifremer, pour respectivement 150 et 180 jours par an.
Le Pourquoi pas ? est conçu pour mener des missions d’hydrographie, hauturière ou côtière, de géosciences, d’océanographie physique, chimique et biologique. Il peut tout aussi bien mettre en Ĺ“uvre des équipements lourds de l’Ifremer - sous-marin Nautile, robot sous-marin téléopéré Victor 6000 de l’Ifremer, que le système d’intervention Newsuit de la Marine nationale.
Le Pourquoi pas ? a rejoint Brest pour effectuer dans les prochaines semaines une série d’essais de ses équipements scientifiques dont les treuils grands fonds et le sondeur multifaisceaux. La cérémonie de baptême est programmée pour la fin septembre.

29 / 06 / 2005
Sujet : Le Pourquoi pas ? fait ses essais Ă  Brest
Les Chantiers de l'Atlantique de Saint-Nazaire procèdent aux essais en mer du nouveau bateau océanographique de l'Ifremer.

Le Pourquoi Pas ? reprend le nom mythique de la goélette d'exploration dans laquelle le commandant Jean Charcot disparut en 1936.

Long de 107 mètres, le nouveau navire de l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer) jauge 6 000 tonnes. Quatrième bâtiment de la flotte océanographique, il embarque une quarantaine de scientifiques pour un équipage d'une trentaine de marins.

Sa principale caractéristique extérieure se situe sous la ligne de flottaison : une plate-forme immergée large de 10 équipée de bathysondeurs pouvant cartographier le relief jusqu'à 7 000 m de profondeur. Le bateau embarque également des sous-marins de poche ainsi que le système Newstuit. Ce scaphandre qui ressemble au bibendum de Michelin permet à la Marine nationale de porter assistance à ses sous-marins jusqu'à 350 m.

La Marine prend d'ailleurs à sa charge 45% du budget de construction du bateau (qui s'élève à 66 millions d'euros). En contre-partie, "la Royale" aura l'usage du bateau à raison de 150 jours par an. Basé à Brest, il servira en particulier au Shom, le service hydrographique et océanographique de la marine. La livraison officielle du bateau doit intervenir fin juillet.
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