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Perso01 / 01 / 2007Sujet : Ecole des Fourriers 1965
Apprenti secrétaire militaire Jean-Pierre BERNARD
Rochefort 1965.
Officier des équipages Prouvot (?)
Second-Maître Primel
17 / 10 / 2006actuellement je prépare mon bac pro compta et en septembre prochain je vais m'engager dans la marine nationale et je souhaiterai savoir le niveau requi pour rentrer dans cette ecole
Alabordache12 / 09 / 2005Sujet : L'école des fourriers de Querqueville baptise trois salles
L'école des fourriers de Querqueville a baptisé jeudi dernier trois salles. Deux honorent la mémoire de deux Querquevillais, le général d'armée Jean Simon et le commandant Dupont. La troisième nommée « Barfleur 1692 » met en valeur l'histoire locale.
« J'ai tenu à ce que les jeunes gens arrivant ici puissent connaître les noms et les biographies de deux figures de grands soldats, compagnons de la Libération. » Jeudi matin, le commandant de l'école des fourriers, le commissaire en chef Jacques Bourrier, a procédé au baptême de trois salles en présence de Jean Lemière, député de Cherbourg, de Maurice Grimal et de Jacques Houyvet, maires de Querqueville et Barfleur. L'amphithéâtre de l'école a été baptisé du nom du général d'armée Jean Simon, en présence de sa famille. Chancelier de l'ordre de la libération de 1978 à 2002, et éminent serviteur de l'Armée et de l'Etat, il est décédé il y a deux ans. Querquevillais d'adoption, il est inhumé au cimetière de la ville. Une salle de cours a été baptisée du nom d'un autre « Français libre » de la première heure, le commandant Dupont, un enfant du pays. « Celui-ci fut aussi de tous les combats pour la Libération du pays du joug nazi et repose également depuis près de 25 ans au cimetière de Querqueville », déclarait Jacques Bourrier en laissant à chaque fois aux familles le soin de dévoiler les plaques.
Installée depuis trois ans dans la région l'école qui forme annuellement plus de 3 000 militaires a souhaité témoigner par son dernier baptême de sa volonté d'étendre son enracinement dans le Nord-Cotentin. La salle de réunion Etat major dans le bâtiment déjà nommé Tourville, s'appellera désormais Barfleur 1692. Une façon pour le commandant Bourrier d'évoquer le premier épisode avantageux de la bataille de la Hougue. « Les conséquences désastreuses de cette lutte inégale menée à un contre deux par Tourville contre une coalition anglo-hollandaise seront pour beaucoup dans la décision d'implanter une présence militaire à Cherbourg. »