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Ecole de Maistrance
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Actualité Ecole de Maistrance
Metro
13 / 07 / 2005
Sujet : Des jeunes Niçois dans la marine"On n'a pas la vie de tout le monde, on navigue partout autour du monde."(13/07/2005)
A la veille des défilés militaires du 14-Juillet, cinq jeunes Niçois âgés de dix-sept à vingt-deux ans sont en partance pour Brest. C'est là-bas qu'ils vont faire leurs quatre mois de "classes" pour intégrer ensuite la marine nationale. Après cette formation, rémunérée 1 000 euros mensuels (nourris/logés), ils prendront place à bord d'un navire de guerre.
A la base de Maistrance, "ils deviendront des sous-officiers", explique Franck Bailleux, le chef du bureau d'information de Nice. Pour ce recruteur, les qualités pour entrer dans la marine sont multiples : aimer la vie en collectivité, avoir l'esprit d'initiative et s'adapter facilement. "Les premiers mois sont assez difficiles, mais on n'enregistre que 10% d'abandons", confie-t-il.
Devenir sous-marinier
"On n'a pas la vie de tout le monde, on navigue partout autour du monde", rêve déjà Camille, aspirant timonier. Christophe est lui plus attiré par la vie en groupe, et surtout par la carrière militaire à long terme. Il veut travailler dans les télécommunications, "dans l'espoir de devenir plus tard sous-marinier". Chaque année, une centaine de candidats issus des Alpes-Maritimes intègre la marine nationale.
13 / 07 / 2005
Sujet : Des jeunes Niçois dans la marine"On n'a pas la vie de tout le monde, on navigue partout autour du monde."(13/07/2005)
A la veille des défilés militaires du 14-Juillet, cinq jeunes Niçois âgés de dix-sept à vingt-deux ans sont en partance pour Brest. C'est là-bas qu'ils vont faire leurs quatre mois de "classes" pour intégrer ensuite la marine nationale. Après cette formation, rémunérée 1 000 euros mensuels (nourris/logés), ils prendront place à bord d'un navire de guerre.
A la base de Maistrance, "ils deviendront des sous-officiers", explique Franck Bailleux, le chef du bureau d'information de Nice. Pour ce recruteur, les qualités pour entrer dans la marine sont multiples : aimer la vie en collectivité, avoir l'esprit d'initiative et s'adapter facilement. "Les premiers mois sont assez difficiles, mais on n'enregistre que 10% d'abandons", confie-t-il.
Devenir sous-marinier
"On n'a pas la vie de tout le monde, on navigue partout autour du monde", rêve déjà Camille, aspirant timonier. Christophe est lui plus attiré par la vie en groupe, et surtout par la carrière militaire à long terme. Il veut travailler dans les télécommunications, "dans l'espoir de devenir plus tard sous-marinier". Chaque année, une centaine de candidats issus des Alpes-Maritimes intègre la marine nationale.