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Présentation, caractéristiques Sous-marin Surcouf
Présentation Sous-marin Surcouf
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La Marine nationale en Photo : Sous-marin Surcouf
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Présentation générale : SupprimerModifier
Long de 110 mètres, avec un déplacement en surface de3.300 tonnes et en plongée 4.320 tonnes, le croiseur sous-marin Surcouf aura été le plus grand sous-marin du monde jusqu'à sa disparition dans la mer des Antilles le 19 février 1942. Caractérisé par son artillerie du calibre de celle d'un croiseur lourd, le Surcouf embarquait un petit hydravion de reconnaissance et de réglage de tir. Une série de 3 sous-marins avait été envisagée mais le Surcouf sera le seul à être construit. Bâtiment ambitieux, le Surcouf était complexe et fragile et l'on peut penser que, malgré son expérience des "bâtiments submersibles", l'industrie française de l'époque n'était pas en mesure de relever un tel défi technologique.
Déplacement : SupprimerModifier
En plongée : 4.320 tonnes
Longueur : SupprimerModifier
110 mètres
Largeur : SupprimerModifier
9 mètres
Tirant d'eau : SupprimerModifier
7,18 mètres
Numéro de coque : SupprimerModifier
Néant avant la guerre. 17P dans les FNFL
Date admission au service actif : SupprimerModifier
Armement définitif : 31 décembre 1932 - Clôture de l'armement : 16 avril 1934.
Date retrait service actif : SupprimerModifier
19 février 1942. (disparu corps et bien avec tout son équipage, 126 hommes, dans la mer des Antilles)
Date mise sur cale : SupprimerModifier
3 octobre 1927
Date lancement : SupprimerModifier
18 novembre 1929
Nombre d'officiers : SupprimerModifier
8 (dont 1 pilote et 1 médecin)
Nombre d'officiers mariniers : SupprimerModifier
26
Nombre de quartier-maîtres et matelots : SupprimerModifier
85 (dont 2 aéro : 1 mécanicien et 1 observateur/radio)
Propulsion : SupprimerModifier
En surface : Puissance 7.600 cv (2 moteurs diesels Sulzer de 3.800 cv chacun) En plongée : Puissance 3.400cv (2 moteurs électriques de 1.700 cv chacun) 2 hélices.
Energie : SupprimerModifier
2 groupes électogènes Sulzer de 1440 cv (720 cv chacun) entraînant une dynamo permettant de recharger les batteries et de fournir l'électricité du bord.
Système de combat : SupprimerModifier
2 canon de 203 mm modèle 1924, alimentés à 300 coups, en tourelle double étanche et pivotante, 2 canons de 37 mm anti aériens semi-automatiques alimentés par 1.000 cartouches. 4 mitrailleuses de 8 mm Hotchkiss avec 16.000 cartouches. 10 tubes lance torpilles répartis comme suit : -4 tubes avant de 550 mm (2 de chaque bord) -2 tourelles triples orientables à l'arrière de chacune 1 tube de 550 mm et 2 de 400 mm. (Nombre de torpilles embarquées : 10 aux tubes + 12 en réserve) IMMERSION : Maximun : 80 mètres Profondeur de flambement : 180 m Profondeur d'écrasement : 490 m AERONAUTIQUE : Un hydravion biplace démontable M.B 411 (observation et réglage de tir) logé dans un compartiment étanche constituant l'arrière du massif.
Port base : SupprimerModifier
Cherbourg , jusqu'à la clôture de l'armement le 16 avril 1934, puis Brest, jusqu''à son évasion de la France le 18 juin 1940 et enfin Plymouth (GB) dans les FNFL jusqu'à sa disparition le 19 février 1942
Directement subordonné à : SupprimerModifier
1929/1935 : Construction, armement et essais à Cherbourg : Major général de l'arsenal - 1935/1940 : En escadre à Brest : Commandant de la 2ème escadrille de sous marins - 1940/1942 : Sous pavillon FNFL en Grande Bretagne : Etat-major de La Royale Navy et commandant en chef des FNFL (amiral Muselier)
Mission : SupprimerModifier
-Assurer le contact avec les colonies. -Rechercher et détruire les flottes ennemies en collaboration avec les forces de surface. -Mener une guerre de course contre les convois ennemis.
Déplacement lège : SupprimerModifier
En surface : 3.300 tonnes
Distance franchissable : SupprimerModifier
En surface à 10 noeuds : 7.500 nautiques ou 10.000 nautiques en surchage de gas oil - En plongée à 5 noeuds : 60 nautiques, à 4,5 noeuds : 70 nautiques. Autonomie 45 jours.
Vitesse maximale : SupprimerModifier
Surface : 20 noeuds (18,5 noeuds en service) - Plongée 8,5 noeuds
Ville marraine : SupprimerModifier
? (Nota : La marraine du Surcouf était l'actrice Anabella dont le portrait décorait le carré des officiers)
Adresse officielle : SupprimerModifier
Ce bâtiment n'existe plus
Historique : SupprimerModifier
On peut décomposer la carrière du croiseur sous marin Surcouf en 3 périodes. D'abord de 1927 à 1934 : De sa mise sur cale à Cherbourg à son affectation à Brest, au sein de la 2ème escadrille de sous-marins. Ses essais ont été particulièrement complexes, notamment en ce qui concerne l'étanchéité de la tourelle double de 203mm. Ensuite de 1934 à 1940 : Missions du temps de paix où le Surcouf a effectué plusieurs campagnes dans nos colonies jusqu'à la déclaration de la seconde guerre mondiale et son départ précipité de Brest où il était en grand carènage, vers Plymouth en grande Bretagne, le 18 juin 1940. Enfin de 1940 à 1942 : De son difficile réarmement sous pavillon FNFL à sa disparition dans la mer des Antilles le 19 février 1942 Pour la version officielle, le Surcouf a été abordé accidentellement par le cargo américain Thompson Lykes, Selon la commission d'enquête de la Marine nationale, il aurait été grenadé par erreur par un hydravion de type PBY Catalina . L'épisode le plus marquant de sa carrière dans les FNFL aura été le ralliement à la France Libre, avec le concours de corvettes Aconit, Mimosa et Lobelia, de l'archipel de Saint Pierre et Miquelon, le 24 décembre 1941 sous les ordres du vice amiral Emile Muselier. Sa carrière opérationnelle aura été brève puisqu'elle n'aura duré que 8 ans, de 1934 à 1942, souvent ponctuée de périodes d'indisponibilité pour avaries ou mises au point.
Bibliographie : SupprimerModifier
Page réalisée par le CF(R) Daniel Maurice
Commandant : SupprimerModifier
15 août 1930 : CF de Belot (armement et essais à Cherbourg) 9 septembre 1933 : CF Le Portier (Fin des essais et 2ème escadrille à Brest) 26 août 1935 : CF Derrien (2ème escadrille à Brest) 23 octobre 1937 : CF Le Gouic (2ème escadrille à Brest) 19 octobre 1939 : CF Martin (Départ de Brest vers la Grande Bretagne le 18 juin 1940) 15 septembre 1940 : CF Ortoli (FNFL, réarmement sous pavillon à "Croix de Lorraine") 7 octobre 1941 : CF Blaison (FNFL, disparu avec le Surcouf le 19 avril 1942 )
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